Nayeli E. Deakin→ EULGUR CITY OF AVALON
→ Statut : En couple → Parchemins : 38 → Où es-tu : Au lycée ou dans la forêt → Ancêtre : Merlin → Pouvoir : Maîtrise de l'eau et Compréhension des animaux
| Sujet: Nayeli Eleonore Deakin § Parce quand amour il n'y a pas de loi ! Ven 20 Avr - 16:09 | |
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Nayeli Elenore Deakin
16 ans . 23 Janvier à Eulgur . En couple . Lycéenne en première . Anglaise . Ft Britanny Robertson Car il faut un début à tout... Vous savez ce que ça fait de vous dire que vous seriez mieux morte qu’en vie ? Non, je m’en doutais et bien c’est ce que je ressens chaque jour à mon réveil. Vous vous demandez surement pourquoi je ne me suis déjà pas tuée. Tout simplement parce que je tiens à la vie et à eux, mes proches tout ceux qui m’entourent. Pourquoi ce genre de pensées me hante ? Tout simplement parce que je sais ce qui m’attends, de la souffrance quoiqu’il arrive. Mon père à tout planifié tout absolument tout. Il s’est marié avec ma mère dans le seul but que sa foutue prophétie se réalise. Je suis qu’un pion pour mon propre père et ça fait mal de savoir ça. Je sais pertinemment ce qu’il veut, que je me marie avec Michael qu’on fasse renaître la légende du Roi Arthur à Eulgur. Pourquoi pas ma sœur et son frère à lui ? Parce que ma sœur n’est pas concernée selon lui, elle est née trop tôt alors que moi je suis né pile au bon moment. Alors, je m’en veux, si je n’étais pas né, personne ne viendrait à souffrir. Parce qu’en voulant lutter, je suis tombé amoureuse, amoureuse de lui, Rian. Oh, il n’y aurait eut aucun problème si Michael n’était pas tombé à son tour amoureux de moi. Mon père repoussait la faute sur Michael au début tant qu’il se tapait ses filles c’était de sa faute. Sauf qu’en tombant amoureux de moi, et ben, il a changé et mon père en l’apprenant à changer d’adversaire. C’est moi la fautive maintenant. Et de mon choix entre eux deux dépendras notre avenir à tous les trois…
Je pense donc je suis... Qui je suis ? Je ne le sais pas vraiment moi-même. Tout le monde me voit comme Miss Perfection et Innocence. Parce que je suis douce et attentive et que je suis toujours là pour aider mon prochain. Mais au fond, je suis loin d’être parfaite, je doute souvent sur ce que je dois faire particulièrement en amour. Et puis, je suis très jalouse, je ne supporte pas les filles qui tourne autour de Rian ou de Michael. Oh, je sais que c’est des êtres humains et pas des objets mais je ne peux pas m’empêcher d’être hyper possessive envers eux. Je ne dis rien bien sur quand les filles leur tourne autour, je leur pourris même pas la vie mais j’encaisse difficilement. C’est peut-être pour ça qu’on me prend pour un ange d’ailleurs car je ne peux tout simplement pas manipuler les gens. Pas que j’en sois pas capable mais je ne le supporterais pas, c’est contraire à ma ligne de conduite. Aussi, tout le monde me connaît comme le petit ange d’Eulgur et on m’aime bien, je suis donc populaire. Sauf que je déteste ça, cette popularité, je suis une fille simple et je rêve que d’une chose qu’on arrête de me demander mon avis et vivre dans l’ombre. Enfin voilà, c’est comme ça que je suis, j’ai surement oublié des choses alors venez me rencontrer pour me découvrir. | Connaissez-vous les légendes Arthurienne ? Si oui, croyez-vous en la légende ? Bien sur que je les connais ! Je baigne dedans depuis toute petite. D'ailleurs, je descendrais de Merlin, bon vu mes pouvoirs je n'ai plus de doutes. Quant à la légende, et bien, elle me fait peur...
Que pensez-vous de la ville d'Eulgur ? Eulgur, ma ville, je l'aime bien. Mais d'un au côté j'aimerais pouvoir la fuir, fuir ce que mon futur me réserve, ce que mon père a décidé pour moi. Mais j'y arrive pas à cause d'eux, mes amis...
A quel club appartenez-vous ou quel est votre métier actuellement ? Je n'appartiens à aucun club. Oui, on m'a proposé des pompon-girl mais j'ai refusé. Je suis populaire mais j'aime pas forcément ça...
Qu'aimez-vous faire le plus en dehors de votre travail/vos études ? J'aime bien me balader ou m'entraîner sur mes pouvoirs avec William, mon jumeau ou Rian mon petit ami.
Vous êtes plutôt escrime ou football américain ? Entre les deux, même si j'ai tendance à dire Escrime...
Vous préférez les armes à feu ou armes blanches ? Armes blanches ! Au moins, on a une chance de s'en sortir face à ses armes...
Vous êtes plutôt un digne chevalier ou un chevalier félon ? Franchement, j'en sais rien... D'après tout le monde je serais digne, mais au fond, je me demande si je suis pas un peu félon... |
Mon passé, Mon futur font partie de moi Le temps de l'Innocence... Ma naissance, je présume que c’était un heureux événement, enfin si on peut parler d’heureux événement pour un truc que mon père avait légèrement planifié. Car oui, mon père n’attendait qu’une chose après la venue au monde de son aînée, une aînée né trop tôt selon lui. Il attendait un fils et une fille. Il a bien eut de la chance d’ailleurs, il a eut les deux pour le prix d’un. Dès que mon père appris la nouvelle, il fut au petit soin avec ma mère, bon il l’était avant aussi mais jamais à ce point. Quand ma mère accoucha, il quitta l’audience sur laquelle il était pour foncer droit à l’hôpital et juste à temps. Mon frère venait de naître et moi je suivais. Et au lieu de s’occuper de mon frère, il me prit dans ses bras dès qu’une infirmière me rendit à ma mère. Si je me souviens de la phrase qu’il ma dite ce jour-là ? Non, mais on me l’a répété si souvent que je l’ais mémorisé. « Nayeli…oui, Nayeli, tu seras digne de ton rang… » Vous vous demandez surement ce que cache cette phrase pas vrai ? Et bien mon père avait tout simplement décidé de mon avenir, mon avenir avant de que je mette un pied par terre. Oh, il n’avait rien prévus de diabolique, juste faire renaître la légende arthurienne et par la même occasion me faire reine du futur arthur. Moi, encore bébé, je ne fis pas grand-chose d’exceptionnel mis à part hurler quand j’avais faim ou soif et sourire quand on me tendait un doigt. J’étais innocente, je ne savais pas encore que certains de mes choix pourrait amener de la souffrance, qu’un jour je devrais choisir entre deux personnes chère à mon cœur. Je me souviendrais toujours de mon enfance, avec une mélancolie digne d’un mélodrame. William, mon jumeau et Michael, le meilleur ami de celui-ci jouait souvent avec moi, même si le plus souvent j’étais leur victime attitrée. Michael, le deuxième fils Peterson, plus prometteur que son aîné d’après mon père, à l’époque je ne comprenais pas trop pourquoi notre père souriait quand il nous voyait jouer mais aujourd’hui je comprends mieux, Michael descend d’Arthur et moi je dois un jour me marier avec lui. Oh, pas de mariage arrangé ou autre, non je devais tomber amoureuse de lui tout simplement. Alors j’imagine très bien ce que pensait mon père en le voyant bambin venir à mon secours dans nos jeux où j’étais souvent sur les rails ou un train devait passer. C’était le temps de l’innocence. Oh, il n’y avait pas que du beau, ma sœur ma jalousait, je ne la comprenais pas mais je me disais que si elle voulait être avec notre mère, elle y avait le droit, elle était l’aîné après tout. Mais mon enfance fut plutôt heureuse, très heureuse même. Beaucoup de gens m’appréciait, je ne savais pas encore pourquoi, mais j’avais ce truc, ce truc pour plaire aux gens. Je n’étais pas encore ce que je suis aujourd’hui il faut croire. Même si ce truc me colle encore à la peau à cause de ma popularité. La Fin de l'Innocence Je me souviendrais toujours de ce jour, ce jour maudit. C’était un 24 Mai, j’étais malade ce n’était pas contagieux mais je devais garder le lit. Garder le lit alors qu’on a six ans ce n’est pas forcément simple, surtout pour moi, je voulais me balader, jouer et surtout pas rester au lit avec pour seule compagnie mon père. Ce jour-là, c’était son tour de veiller sur moi, je sentais bien que ça l’enquiquinait mais il n’avait pas le choix, ma mère était partie à Londres pour son job et il ne restait que lui. Finalement, voyant bien que j’étais insupportable il m’emmena avec lui, voir mon oncle. Aucun d’entre nous ne l’avait vu, c’était un secret de famille, un lourd secret que je porte depuis ce jour sans pouvoir en parler à quiconque. Mon père ne voulait pas que je le vois, il m’avait laissé à l’accueil avec pour seul garde la secrétaire à qui j’ai rapidement faussé la compagnie. Et j’ai trouvé mon père avec lui, cet homme au regard un peu fou. Ils se fixaient dans les yeux en parlant de ma mère. Puis, mon oncle à tourné la tête vers moi, il m’a regardé dans les yeux avant de se lever et me saisir le bras avec violence. Je poussais un cri de frayeur mais aussi de douleur en voyant son regard, un regard de dingue, un regard de quelqu’un qui avait vu trop de choses. Ses paroles résonnent encore dans ma tête dans mes rêves et je crois bien qu’elles ne me quitteront jamais. « Toi…toi et lui, Peterson. Vous déclencherez tout… » Mon père m’arracha finalement au prise de mon oncle et m’emporta loin de lui pendant que j’étais en pleurs. Mon bras me faisait mal, très mal, je ne comprenais pas la phrase de mon oncle. Moi et un des fils Peterson devaient déclencher quelque chose ? Mais quoi ? Je tournais un regard interrogatif vers mon père qui soupira m’expliquant qu’une légende parlait de moi et de Michael, qu’un jour on serait ensemble et qu’on ferait renaître les légendes arthurienne. Je ne vous dis pas le choc d’apprendre ça à ses six ans. Cela ne changea rien à ma relation avec Michael mais au fond je craignais le pire maintenant. Quand l'Amour arrive Les années passèrent, je devins populaire avec Michael et William, mon jumeau et une bande d’amis. On trainait souvent ensemble mais au fond moi, je ne voulais pas de tout ça, cette célébrité cela me plaisait pas absolument pas. Je voulais être dans l’ombre tout simplement, qu’on n’arrête de me dévisager, qu’on me traite comme tout le monde. Et puis, j’avais mes dons, des dons tout sauf commode à vivre. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eut ses dons en moi même s’ils ne se sont manifesté que vers mes dix ans. Comment ? Je me souviens de cet oiseau qui s’était posé sur le rebord de ma fenêtre sans avoir peur de moi qui regardait le jardin. Il s’est mis à chanter et alors que j’écoutais sa douce mélodie, je compris ce qu’il chantait, oh, pas grâce à l’air non c’est comme si mon cerveau traduisait les paroles de l’animal pour moi. Il me souhaitait un bon anniversaire, je lui fis un sourire et souffla juste un mot, merci et l’oiseau répondit qu’il en était heureux que son cadeau m’ai touché avant de s’envoler. Bien sur, j’avais toujours eut un lien spécial avec les animaux, ils venaient souvent à moi et j’aimais bien m’occuper d’eux mais je n’aurais jamais crus comprendre un oiseau. Au début, je crus à un rêve mais voyant que je comprenais les animaux tous les animaux qui venait à moi, je du me faire une raison. Finalement, je me confiai à mon jumeau qui m’expliqua que lui aussi s’était découvert des dons et on décida de s’entraîner ensemble afin de mieux maîtriser tout ça. Parce qu’il fallait dire que ça dérapait souvent à cause de nos émotions mais à force d’entraînements on réussit à les maîtriser. Puis, alors qu’un jour je me baladais, je croisais Rian qui s’entraînait avec une épée. Bon, j’eus peut-être tort de m’arrêter mais il me plaisait bien Rian, il n’était pas spécialement populaire mais ce que j’entendais de lui me plaisait. Alors quand je vis une flamme apparaître au bout de son épée, une flamme qu’il ne semblait pas maîtriser, je m’empressais de l’éteindre. Il savait maîtriser le feu, comme moi l’eau et comme Will l’air sauf qu’à la différence de mon frère et moi, il venait surement de s’en apercevoir. Il me remarqua et on eut une discussion assez houleuse au début mais qui se solda par un début d’amitié quand il accepta qu’on s’entraîne ensemble. Bien sur, je fis en sorte que Will ne l’apprenne jamais jusqu’à ce qu’on se mette ensemble où là ce fut difficiles de ne pas lui expliquer. Je me souviens encore du premier baiser de Rian, c’était après un de nos entraînements, on avait pris l’habitude de discuter et là je monopolisais la parole. On était en troisième, une année assez complexe mais on continuait nos entraînements. « Tu sais…je me demande ce que ça fait de le faire…je veux dire l’amour. Non pas que je sois amoureuse ou peut-être mais j’entends souvent les garçons en parler quand ils croient que je suis dans mes pensées ou occuper à faire mes devoirs. C’est assez bizarre de… » Je n’eus pas le temps de terminer mon discours que ses lèvres se posèrent sur les miennes, je répondis au baiser et quelques jours plus tard on était ensembles sans que je sache qu’un jour tout ça risquait de se retourner contre moi. Quand tout se complique « Fiche moi la paix Michael ! Je ne veux pas sortir avec toi et je ne veux pas finir dans ton lit ! » « Mais…Nayeli…je t’aime. Bon sang, je t’aime. Alors arrête de parler de mon lit. » « Fiche-moi la paix ! » Ce genre de discussion, ça vas faire un an que je les ais avec Michael. Michael, le grand Michael, le cureurs de jupons invétéré. Je ne supporte pas pour autant toutes ses filles qui lui tournent autour pour l’avoir dans leur lit ou ses faveurs. En faites, si vous avez bien noté, la seule chose que je n’ais pas réussit à lui dire c’est je t’aime pas. Tout simplement parce que c’est faux et que je ne pourrais jamais lui sortir ça. Je sors toujours avec Rian et il restera mon premier amour et je ne l’oublierais jamais d’ailleurs c’est pour ça que je mets de la distance entre moi et Michael. Je ne veux pas le blesser, je ne veux pas lui faire le moindre mal. Et pourtant, je sais que doucement, je passe à autre chose, que doucement je tombe amoureuse de Michael et je n’y peux absolument rien. Je me dégoûte d’être comme ça, de savoir qu’un jour je le blesserais. Alors je ne dit rien, j’envoie Michael valser à chacune de ses tentatives et je reste avec Rian sans savoir combien de temps ça dureras… Et pour la Fin | BRIBRI Age : 19 ans Où avez-vous connu le forum : Je l'ai crée ! Code du règlement : Je m'auto-valide et toc !
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